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English version
Versión Española
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Biographie
1898
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Naît à Madrid
le 6 mai.
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1915
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Après avoir terminées ses études au collège de la Conception à
Madrid, il prépare l’entrée à l’École des ponts et chaussées et entreprend
des études de droit: carrières qu’il abandonnera dès l’année suivante pour
se consacrer entièrement à la peinture.
Borès avec sa famille |
1916
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Il entre à l’académie Cecilio Pla où il restera pendant trois ans. Il y
retrouve Pancho Cossio, Manuel Angeles Ortiz et Joaquin Peinado.
Premières études d’après modèle.
Il réalise ses premières copies de Vélasquez, de Goya et du
Titien au musée du Prado.
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1922
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Après une première tentative qui s’est soldée par un échec en 1921
(ses tableaux seront refusés), il participe à l’exposition nationale des
Beaux-Arts ou Salon officiel.
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1923
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Borès se lie avec les Ultraïstes. Il fréquente les milieux littéraires, la
Résidence des étudiants et participe aux principales " tertulias " qui se
déroulent dans les cafés madrilènes. À partir de 1923 jusqu’en 1928, il
collabore à plusieurs revues - Alfar, Horizonte, Tobogan, Cruz y Raya,
Indice, Si, España -, pour lesquelles il exécute des gravures sur bois et des
xilographies. Il réalise aussi de nombreuses vignettes de couverture pour la
Revista de Occidente, et, en 1925 notamment, illustre l’édition d’El
Decameron Negro de Leon Frobenius. Cette même année il fréquente
l’académie de Julio Moisés où il rencontre Dali et Benjamin Palencia.
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1925
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Autoportrai, 1926
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Borès participe à la première exposition de la Société des artistes
ibériques qui se tient au Palais des expositions du Retiro, à Madrid. Il y
expose seize huiles et aquarelles (natures mortes et portraits). Si l’accueil
de la presse est largement favorable, le rejet du public est unanime. Ce
désintérêt du public espagnol pour la jeune peinture contemporaine comme
ce fut le cas pour Dali, Moreno Villa, Palencia ou Alberto - pousse Borès,
à partir pour Paris où il retrouve son ami Cossio, qui arrivé deux ans plus
tôt dans la capitale française, lui a trouvé un atelier à Montparnasse, avenue
du Maine.
À peine arrivé, il subit un premier revers: ses uvres sont refusées au
Salon d’automne.
Il fait la connaissance de Picasso et Juan Gris (qui mourra quelque temps
après).
Borès illustre de quatre dessins le recueil de poèmes de José
Maria Hinojosa La rosa de los vientos, publié en 1927
dans le septième supplément de Litoral (Malaga).
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1926
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Il passe l’été à Juan-les-Pins où il retrouve, entre autres, Joaquin
Peinado et Sabartés.
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1927
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Rue Julie, 1928 |
Borès quitte son atelier de l’avenue du Maine pour s’installer au
numéro 42 de la rue Julie. Il établit ses premiers contacts avec les
marchands Jacques Bernheim et Léonce Rosenberg ainsi qu’avec la galerie
Pierre et la galerie Percier.
Il signe son premier contrat avec la galerie Percier qui organise sa première
exposition individuelle en juin. Cette exposition lui offre l’opportunité de
rencontrer le critique et éditeur Tériade, qui lui consacre un premier article
élogieux dans le numéro 3 de Cahiers d’art, article qui sera traduit et publié
à Madrid le 1er août dans le numéro 15 de La Gaceta Literaria - revue clé
de l’avant-garde espagnole fondée par Giménez Caballero, et un article de
Benjamin Jarnés " La pintura de Bores " dans le numéro 27 du 1er
novembre.
Le cercle de ses amis s’agrandit: Jules Supervielle, Max Jacob, Jean
Cocteau, Raymond Radiguet, Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard,
Christian Zervos, Man Ray...
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1928
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Portrait de Raïa,1928
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Publication
du recueil de poèmes de Jules Supervielle Saisir édité
par la NRF, avec un portrait de l’auteur par Borès, gravé
sur bois par Georges Aubert.
Participe à une exposition collective, à laquelle collaborent également Vinès
et André Beaudin, à la Valentine Gallery de New York.
Expose au salon des Tuileries et au premier Salon des vrais indépendants.
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1929
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Borès commence
à peindre de manière moins abstraite, il crée ce qu’il a appelé la
"Peinture-fruit". Durant l’été, il se rend à Grasse et au Cros-de-Cagnes,
en compagnie de Raïa Perewozka dont il avait fait la connaissance
en 1928 au café du Dôme. Il peint de nombreux paysages d’oliviers.
" En 1928, j’avais produit des toiles quasi-abstraites. À la fin de
l’année, un séjour dans le Midi, aux environs de Grasse, précipita
les choses: je fus subjugué par la lumière, les fruits, les femmes
de ce pays. Je me remis à peindre des paysages et des hommes".
Il expose au Salon des surindépendants et participe à l’Exposition des
peintures et sculptures des résidents espagnols à Paris présentée au Jardin
botanique de Madrid, et à diverses expositions collectives, dont une à
Zurich, Peintures de Paris, et deux à la galerie Vavin-Raspail, à Paris,
respectivement en mai et octobre.
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1930
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Raïa, Borès et Tériade
à Grasse,1930
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Il épouse
Raïa à Paris. Ses témoins de mariage sont Tériade et le peintre
américain Abraham Rattner. Le couple se rend sur la Côte d’Azur
avec Tériade, non de loin de Grasse, puis passe quelque temps
à Cagnes-sur-Mer, en compagnie de Picasso, Olga et leur fils
Paulo. Il continue de peindre des paysages et des natures
mortes d’après nature. Il participe à deux expositions collectives,
l’une au musée d’Art moderne de New York, et l’autre au Casino
de San Sebastian: Exposición de Arquitectura y Pintura
Modernas (Cossío, Picasso, Gris, Viñes, Pruna, Ponce de Léon,
Moreno Villa, Uzelai, Maruja Mallo, Bores, Alfonso Olivares,
M.Ángeles Ortiz, Maura salas, J.Peinado, Olasagasti, Cabanas
Erausquin y Miró).
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1931
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Borès dans son atelier,1931
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La galerie Georges Bernheim lui organise une exposition individuelle à
Paris, avec des œuvres datant de 1927 à 1931.
Il va participer chaque année au Salon des surindépendants jusqu’en 1938,
puis, par la suite, de manière plus sporadique.
Il participe à trois expositions collectives: à la galerie Georges Petit, à Paris,
uvres récentes de Beaudin, Borès, Cossío, Dalí, Giacometti, Laurens,
Lurçat, Marcoussis, Masson, Max Ernst, Miró, Ozenfant, Torrès-Garcia,
Zadkine; à San Sebastian, à la Société des Artistes Ibériques; et à la
Nouvelle-Orléans, pour la manifestation Peintres de Paris.
Naissance de sa fille Carmen, à Lucerne (Suisse).
Après avoir participé à deux expositions collectives en 1929 à la galerie
Vavin-Raspail, à Paris, il signe un contrat avec son directeur, le marchand
suisse Max Berger, relation qu’il maintiendra jusqu’à la fermeture de la
galerie en 1934. Dans le numéro 10 de la revue Les Arts plastiques, publiée
par les éditions de la galerie Vavin en 1930, Max Berger lui consacre une
monographie.
Entre 1931 et 1932 Borès change deux fois d’atelier: il s’installe tout
d’abord au 147 de la rue Broca, puis au 76 de la rue des Plantes avec sa
famille.
Il rencontre les sculpteurs Henri Laurens et Alberto Giacometti, ainsi que le
diplomate, traducteur et écrivain Paul Petit, auteur de La Vie intellectuelle
(Paris, octobre 1932).
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1932
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Borès expose à la galerie Vavin-Raspail. Il définit ainsi la nouvelle
manière de peindre: " Plus de précision dans la forme et plus d’intensité
dans la couleur " et " Nouvelles recherches de peinture pure dans un sujet
peu important ".
Il passe l’été à Vinaroz avec sa famille. Il peint des paysages.
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1933
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Expose à nouveau à la galerie Vavin-Raspail, avec cette fois des
Suvres dont " les sujets sont plus réalistes ".
Il participe de nouveau à la Société des artistes ibériques à Berlin, ainsi qu’à
une exposition collective à la galerie Vavin-Raspail.
Durant l’été, il passe ses vacances à Varangeville avec sa famille et Pierre
Reverdy. Il y rencontre Georges Braque et sa femme.
À son retour, Borès déménage une nouvelle fois et s’installe avec Raïa et
sa fille rue de la Glacière. Mais, pour des raisons économiques, Raïa et
Carmen partent vivre à Madrid, chez la mère du peintre, où elles
séjourneront une partie de 1933 et 1934.
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1934
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Minotaure,1934
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Exposition avec Beaudin et Dali à la Zwemmer Gallery, à Londres. Il
participe à l’exposition Minotaure présentée au palais des Beaux-Arts de
Bruxelles.
Exécute une eau-forte pour le recueil de poèmes de Louis Bauguion CSur
au Zénith (Paris, Cahiers libres).
Réalise la couverture du numéro 5 de la revue Minotaure, fondée et dirigée
par Tériade et Albert Skira.
Collabore au numéro 12 de la revue Cruz y Raya, dirigée par José
Bergamin (quatre dessins).
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1935
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Contrat avec la Zwemmer Gallery, à Londres, dans le cadre d’une
exposition individuelle présentée au mois de novembre.
Illustration du recueil de poèmes de Jean-Paul Collet, La Vie
même(Paris, G.L.M.). Borès collabore également à la Bête
noire, journal fondé par Tériade et Maurice Raynal (1935-1936).
Participe à l’exposition Peinture et sculpture présentée au collège
d’Espagne, à la Cité universitaire, à Paris.
Premiers contacts avec Daniel-Henry Kahnweiler, directeur de la galerie
Simon, à Paris, en juillet. Signature d’un contrat renouvelable.
En septembre, Borès retourne en Espagne avec sa famille. Ils demeureront
à Madrid jusqu’à l’éclatement de la guerre civile.
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1936
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Il participe
à l’exposition L’art espagnol contemporain au Jeu de Paume
de Paris et célèbre sa première exposition individuelle aux Etats-Unis,
au Arts Club de Chicago.
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1937
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Il emménage
dans un atelier situé au numéro 16 de la villa Saint-Jacques qu’il
conservera jusqu’à la fin de sa vie.
Naissance de son fils Daniel à Paris, ainsi prénommé en hommage à
Daniel-Henry Khanweiler, que le peintre tient en grande estime.
Première exposition individuelle à la galerie Simon.
Il participe à l’exposition organisée au pavillon espagnol au Petit Palais ainsi
qu’à deux expositions collectives à Stockholm et à Copenhague.
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1938
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Exposition individuelle à la Stanley Rose Gallery, à Hollywood.
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1939
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Exposition individuelle à la Buchholz Gallery, à New York.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, Borès quitte à nouveau Paris
avec sa famille pour Saint-Jean-de-Luz. Durant son séjour, il voit Matisse
tous les jours, ou presque. Ce dernier l’a chargé de lui trouver une maison
en face du port de Ciboure, où il restera avec Lydia quelques mois.
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1940-1942
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Paysage au crépuscule, 1940
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En septembre 1940, Borès rentre à Paris avec sa famille.
Il participe en 1941 à l’exposition Vingt jeunes peintres de tradition
française, à la galerie Braun, à Paris. Tout en continuant de travailler pour
la galerie Simon, il s’engage avec la galerie Alfred Poyet en avril 1941, et la
galerie Renou et Poyet en 1942.
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1943
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La situation politique de la France s’aggrave: Borès decide de partir
avec sa famille pour Madrid au printemps; il rentrera seul à Paris en
septembre; sa famille restera à Madrid jusqu’en mars 1945.
La galerie de France présente le livre Cinq peintres d’aujourd’hui (Borès,
Beaudin, Gischia, Estève, Pignon) avec un texte de Roger Lesbats, et
édité par André Léjard.
Borès quitte la galerie Simon et expose à la galerie Renou et Colle, ainsi
qu’à la galerie Alfred Poyet. Premiers contacts avec le marchand Louis
Carré qui lui achète plusieurs toiles.
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1944
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Il peint l’un des rares grands formats de cette époque, L’Été et
expose des Suvres récentes à la galerie Renou et Colle.
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1945
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Participe à de nombreuses expositions collectives, tant en France
qu’à l’étranger: Bruxelles, Rome, New-York, Dublin, Ottawa,
Luxembourg, La haye.
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1946
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La galerie de
France, à Paris, et la galerie Apollo, à Bruxelles, lui organisent
respectivement une exposition individuelle. Il participe à Prague
à l’exposition L’Art dans l’Espagne républicaine - les artistes
espagnols de l’École de Paris avec l'œuvre Espagne 1937 et,
à Paris, à l’exposition, Art et résistance.
Grâce au peintre Mogens Andersen, grand admirateur de son Suvre et ami
fidèle, il reprend contact avec le Danemark et la Suède à la faveur de
plusieurs expositions collectives et individuelles.
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1947
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Les musées français
acquièrent l’&Oelig;uvre Nature morte au biscuit, pratiquant
une politique d’acquisition qu’ils vont poursuivre jusque dans les
années soixante, d’où une représentation significative de l'œuvre
de Borès dans les musées nationaux et le Fonds national.
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1948
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Importante exposition individuelle au Kunstforeningen de
Copenhague.
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1949
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Quatre importantes expositions individuelles à la galerie Moos à
Genève et à Zurich, à la galerie Per à Oslo, et à la galerie de France à Paris.
Le musée d’Art moderne de New-York achète L’Essayage (Souvenir
imaginaire), une Suvre de 1934, et l’une des plus grandes toiles jamais
réalisées par le peintre.
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1950
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Expositions individuelles majeures à la galerie Pierre à Paris, à la
galerie Birch à Copenhague, et au Konstmuseum de Aalborg (Danemark).
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1951
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Borès entre à la galerie Louis Carré, à Paris, où il restera jusqu’en
1964.
Exposition individuelle à la galerie Artek à Helsinki, et plusieurs expositions
collectives, notamment L’École de Paris 1900-1950 à la Royal Academy
of Arts à Londres, et Peintres parisiens de la deuxième génération à la
Kunsthalle de Bâle.
Naissance de sa première petite fille Anne.
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1952-1953
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Borès participe à plusieurs expositions collectives à Zurich,
Lausanne, Turin, Göteborg, en Israel, au Japon et en Australie, et à la
galerie Louis Carré à Paris.
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1954
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Première exposition individuelle à la galerie Louis Carré, avec un
choix d’Suvres réalisées entre 1951 et 1954. Pour l’événement, est édité
un catalogue qui comporte un texte de présentation de Tériade et des
vignettes et illustrations de Borès. En octobre, l’exposition est proposée à
la Svensk-Franska Konstgalleriet de Stockholm.
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1955
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Participe à de nombreuses expositions collectives, parmi lesquelles on
peut distinguer sa première participation au prix du Carnegie Institute de
Pittsburgh avec Le Pêcheur de 1953, une Suvre choisie pour l’affiche de
l’exposition; une expérience qui se répétera en 1958, lorsque le peintre est
invité pour la seconde fois, avec Nu devant la mer de 1957.
De 1954 à 1959, Borès va exposer régulièrement à la galerie Charpentier
dans le cadre de l’exposition annuelle consacrée à l’École de Paris.
Naissance de sa seconde petite-fille Hélène.
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1956
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Exposition individuelle à la galerie Louis Carré avec une vingtaine
d’Suvres. Le catalogue est préfacé par Jacques Lassaigne.
Jean Grenier lui consacre un grand article rétrospectif publié dans
la revue L’Oeil.
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1957
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Exposition individuelle à la galerie Louis Carré avec pour thème
unique la mer. Louis Carré publie un catalogue à tirage limité, illustré par
Borès. La préface de Jacques Lassaigne est suivie des propos de l’artiste
recueillis par Jean-José Marchand.
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1958
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Nature morte aux pinceaux, 1958
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Participe
au Guggenheim International Award au Salomón R. Guggenheim
Museum de New York.
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1959
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Exposition de gouaches à la galerie du Pont-Royal à Paris, et des
expositions collectives en France, au Danemark et aux Etats-Unis.
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1960
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Borès participe
à trois expositions individuelles, deux à la galerie Pierre Loeb
et la galerie Pierre Berès à New York, et une troisième à la Molton
Gallery, à Londres. Principalement des œuvres sur papier - des
gouaches, des aquarelles et des dessins.
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1961
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Il réalise
une série de lithographies pour illustrer les œuvres complètes
de Albert Camus (Paris, André Sauret éditeur, Imprimerie nationale,
1962). L’éditeur Tériade publie une importante monographie
qui couvre son oeuvre de 1927 à 1960, avec un texte de Jean
Grenier et huit lithographies originales.
Borès présente un ensemble d’huiles, de gouaches et de dessins à la galerie
Marya de Copenhague.
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1962
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Il expose à
nouveau à la galerie Louis Carré un ensemble de vingt-et-une oeuvres
et participe à une exposition collective à la Crane Kalman Gallery
à Londres.
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1963
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Il présente une importante exposition anthologique de peintures datant
de 1928 à 1962 à la Crane Kalman Gallery, à Londres.
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1964
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Il réalise des vitraux pour la chapelle du séminaire de Montbrison, en
France, et illustre d’une série de cinq lithographies le Chant funèbre pour
Ignacio Sánches Mejías de Federico Garcia Lorca pour les éditions Manus
Presse (Stuttgart).
Borès expose pour la première fois à la galerie Villand et Galanis, à Paris,
un choix de gouaches.
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1966
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Il est nommé officier de l’ordre des Arts et des Lettres.
Il expose à nouveau à la galerie Villand et Galanis un choix d’Suvres des
trois dernières années présenté par R. V. Gindartael.
Borès illustre pour les éditions Propyläen, à Berlin, Le Neveu de Rameau,
de Diderot.
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1967
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Il participe à deux expositions individuelles, la première à la galerie
Pagani, à Milan, avec un choix d’Suvres similaire à celui de son exposition
l’année précédente, la seconde à la galerie Villand et Galanis avec un
ensemble de pastels et de dessins.
Participation au Salon d’automne à Paris et à une exposition collective à la
Crane Kalman Gallery.
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1968
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Il exécute peu d’huiles et expérimente le stylo feutre, expérience qui
va se traduire par des dessins très travaillés dans le tracé et dans la
couleur.
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1969
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Il réalise une exposition individuelle à la galerie Georges Bongers, à
Paris, entièrement consacrée à la gouache et participe à deux expositions
collectives à la Crane Kalman Gallery et à la galerie Theo, à Madrid.
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1970
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Exposition individuelle de gouaches à Esch s/Alzette, au
Luxembourg.
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1971
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La
Crane Kalman Gallery organise une rétrospective qui réunit des
œuvres de 1928 à 1970 et la galerie Theo à Madrid présente
une exposition de ses œuvres récentes.
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1972 |
Francisco Borès s’éteint à Paris le 10 mai. |
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